Mes techniques
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Il existe plusieurs types d'ostéopathies différentes :
- Structurelle
- De haute vélocité
- Fonctionnelle
- Douce
- Energétique
- Fluidique
- Emotionnelle…
Chacune a un intérêt particulier et des limites en fonction du contexte. Par exemple si vous avez un blocage ancien, une technique « plus appuyée » sera indiquée, alors que sur un problème inflammatoire ou très douloureux on préférera des techniques plus douces.
L'ostéopathie recherche surtout la cause du problème qui n'est pas forcément à l'endroit de la douleur.
On peut comparer cela à la tour de Pise : elle penche, ce qui est problématique. Pourtant ses murs sont bien construits, l'origine du déséquilibre vient du sol qui n'a pas été assez stabilisé pour supporter une telle construction.
Pour nous l'idée est la même : on peut avoir mal en bas du dos (aux lombaires) mais cela peut venir :
- D'une vertèbre (ou plusieurs) de cette région qui bouge(nt) moins bien ou pas correctement,
- Des viscères ou des muscles qui s'accrochent sur cette vertèbre,
- D'un problème musculaire, vasculaire ou d'un nerf qui ne bouge pas correctement et qui provoque ces troubles, que ce soit à l'étage douloureux, au-dessus (thorax, cou, muscle diaphragme, etc.) ou en dessous (bassin, genou, cuisse, etc.).
Comprendre ce principe, c'est comprendre ce qu'est l'holisme : le corps dans sa globalité.
Mais c'est une globalité sur un seul « niveau » : le corps physique.
Le corps a d'autres « niveaux ». En lisant l'article sur « l'octave des thérapies » selon les derviches Hakim vous aurez une vision encore plus globale de l'être humain.
Ci-dessous vous trouverez la philosophie d'une des écoles d'ostéopathie dont j'ai été élève.
(Si vous désirez approfondir encore plus vos connaissances sur ce qu'est l'ostéopathie cliquez ici.)
Lire la suite...
- Structurelle
- De haute vélocité
- Fonctionnelle
- Douce
- Energétique
- Fluidique
- Emotionnelle…
Chacune a un intérêt particulier et des limites en fonction du contexte. Par exemple si vous avez un blocage ancien, une technique « plus appuyée » sera indiquée, alors que sur un problème inflammatoire ou très douloureux on préférera des techniques plus douces.
L'ostéopathie recherche surtout la cause du problème qui n'est pas forcément à l'endroit de la douleur.
On peut comparer cela à la tour de Pise : elle penche, ce qui est problématique. Pourtant ses murs sont bien construits, l'origine du déséquilibre vient du sol qui n'a pas été assez stabilisé pour supporter une telle construction.
Pour nous l'idée est la même : on peut avoir mal en bas du dos (aux lombaires) mais cela peut venir :
- D'une vertèbre (ou plusieurs) de cette région qui bouge(nt) moins bien ou pas correctement,
- Des viscères ou des muscles qui s'accrochent sur cette vertèbre,
- D'un problème musculaire, vasculaire ou d'un nerf qui ne bouge pas correctement et qui provoque ces troubles, que ce soit à l'étage douloureux, au-dessus (thorax, cou, muscle diaphragme, etc.) ou en dessous (bassin, genou, cuisse, etc.).
Comprendre ce principe, c'est comprendre ce qu'est l'holisme : le corps dans sa globalité.
Mais c'est une globalité sur un seul « niveau » : le corps physique.
Le corps a d'autres « niveaux ». En lisant l'article sur « l'octave des thérapies » selon les derviches Hakim vous aurez une vision encore plus globale de l'être humain.
Ci-dessous vous trouverez la philosophie d'une des écoles d'ostéopathie dont j'ai été élève.
(Si vous désirez approfondir encore plus vos connaissances sur ce qu'est l'ostéopathie cliquez ici.)
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QU'EST CE QUE L'OSTEOPATHIE DOUCE SELON LA M.T.M.*?
L'ostéopathie est pratiquée par des masseurs kinésithérapeutes diplômés d'État qui ont adopté les principes de l'ostéopathie classique, sa philosophie et ses techniques. Techniques qu'ils ont modifiées et améliorées en y incorporant les leurs et en supprimant les manipulations forcées (celles-ci avaient conduit les Pouvoirs Publics à en interdire la pratique par des non médecins).
Ces ostéopathes sont donc des praticiens exerçant en toute légalité, en collaboration avec les médecins.
Ils sont responsables et connaissent les limites de leurs compétences.
PRINCIPES DE BASE :
L'holisme : appréhender le patient dans sa globalité, ne pas se limiter au symptôme, rechercher la cause première.
Tendre vers l'homéostasie : faculté de l'organisme à, sinon s'autoguérir, s'adapter à l'environnement grâce à la synergie des systèmes cardiaque, circulatoire, respiratoire, endocrinien, nerveux etc…
L'interdépendance de la structure et de la fonction : l'ostéopathe, par son approche et sa connaissance de la biomécanique, a une action sur les dysfonctionnements de l'organisme.
La connaissance conjointe du MRP (Mécanisme Respiratoire Primaire, décrit par W. G. Sutherland), des fascias et de leur organisation en chaînes, assure à l'ostéopathie son action holistique.
Mais surtout, la notion plus récente de la physiologie des « mouvements mineurs » permet de pratiquer avec efficacité, en utilisant des techniques précises et douces.
TECHNIQUES DE TRAVAIL SPECIFIQUES
Le but de l'ostéopathie est la récupération de la mobilité articulaire et tissulaire, afin de permettre à l'organisme de tendre vers l'homéostasie. Le praticien, après une bonne anamnèse, utilise différents tests de mobilité ou « d'écoute » et, en cas de déséquilibre, réharmonise avec méthode par la pratique de techniques qui demandent un bon apprentissage :
- Pompages (articulaires, ligamentaires, musculaires ou tendineux, aériens et circulatoires).
- Étirements de fascias et rééquilibration.
- Correction des « lésions » par des mobilisations : structurelles, sensorielles ou, le plus possible, fonctionnelles.
Son champs d'action lui permet de traiter des pathologies aussi diverses que :
- Les affections de la colonne vertébrale telles que lombalgies, sciatiques, NCB…
- Les accidents sportifs comme les entorses de cheville ou du genou…
- Les syndromes du membre supérieur du type tendinite, PSH…
- Les problèmes de l'abdomen ou de l'appareil digestif.
- Certaines céphalées et plusieurs types de vertiges et d'acouphènes.
Mais l'ostéopathie est également efficace dans la prévention, à tout âge et particulièrement chez le nourrisson. Il en est ainsi des scolioses ou tout autre trouble de la statique et, de façon plus générale, toutes les pathologies qui ont pour origine un déséquilibre de l'appareil locomoteur. C'est ainsi qu'elle pourra être utilisée en orthopédie, favorisant une rééducation moins agressive, efficace et plus rapide. Il en sera de même, en gynécologie, en urologie, en orthodontie, dans le domaine cardio-pulmonaire, ORL etc...
Les qualités indispensables à la bonne pratique de l'osthéopathie douce sont :
PATIENCE, DOUCEUR ET HUMILITE.
L'ostéopathie est pratiquée par des masseurs kinésithérapeutes diplômés d'État qui ont adopté les principes de l'ostéopathie classique, sa philosophie et ses techniques. Techniques qu'ils ont modifiées et améliorées en y incorporant les leurs et en supprimant les manipulations forcées (celles-ci avaient conduit les Pouvoirs Publics à en interdire la pratique par des non médecins).
Ces ostéopathes sont donc des praticiens exerçant en toute légalité, en collaboration avec les médecins.
Ils sont responsables et connaissent les limites de leurs compétences.
PRINCIPES DE BASE :
L'holisme : appréhender le patient dans sa globalité, ne pas se limiter au symptôme, rechercher la cause première.
Tendre vers l'homéostasie : faculté de l'organisme à, sinon s'autoguérir, s'adapter à l'environnement grâce à la synergie des systèmes cardiaque, circulatoire, respiratoire, endocrinien, nerveux etc…
L'interdépendance de la structure et de la fonction : l'ostéopathe, par son approche et sa connaissance de la biomécanique, a une action sur les dysfonctionnements de l'organisme.
La connaissance conjointe du MRP (Mécanisme Respiratoire Primaire, décrit par W. G. Sutherland), des fascias et de leur organisation en chaînes, assure à l'ostéopathie son action holistique.
Mais surtout, la notion plus récente de la physiologie des « mouvements mineurs » permet de pratiquer avec efficacité, en utilisant des techniques précises et douces.
TECHNIQUES DE TRAVAIL SPECIFIQUES
Le but de l'ostéopathie est la récupération de la mobilité articulaire et tissulaire, afin de permettre à l'organisme de tendre vers l'homéostasie. Le praticien, après une bonne anamnèse, utilise différents tests de mobilité ou « d'écoute » et, en cas de déséquilibre, réharmonise avec méthode par la pratique de techniques qui demandent un bon apprentissage :
- Pompages (articulaires, ligamentaires, musculaires ou tendineux, aériens et circulatoires).
- Étirements de fascias et rééquilibration.
- Correction des « lésions » par des mobilisations : structurelles, sensorielles ou, le plus possible, fonctionnelles.
Son champs d'action lui permet de traiter des pathologies aussi diverses que :
- Les affections de la colonne vertébrale telles que lombalgies, sciatiques, NCB…
- Les accidents sportifs comme les entorses de cheville ou du genou…
- Les syndromes du membre supérieur du type tendinite, PSH…
- Les problèmes de l'abdomen ou de l'appareil digestif.
- Certaines céphalées et plusieurs types de vertiges et d'acouphènes.
Mais l'ostéopathie est également efficace dans la prévention, à tout âge et particulièrement chez le nourrisson. Il en est ainsi des scolioses ou tout autre trouble de la statique et, de façon plus générale, toutes les pathologies qui ont pour origine un déséquilibre de l'appareil locomoteur. C'est ainsi qu'elle pourra être utilisée en orthopédie, favorisant une rééducation moins agressive, efficace et plus rapide. Il en sera de même, en gynécologie, en urologie, en orthodontie, dans le domaine cardio-pulmonaire, ORL etc...
PATIENCE, DOUCEUR ET HUMILITE.